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Trail des échelles de la mort



 Ce dimanche, direction le Haut Doubs profond pour remettre le dossart, avec toute la petite troupe Perrignon à mes cotés.

 Jérémie et Nima sont là aussi pour garder les moufflets pendant que maman et papa courent.

 Ca attaque  a bloque dés le départ, le jeune Rémi Piégelin est le seul à suivre et à en remettre des couches.

 En bas de la première descente, il accuse le coup, je maintient le rythme le  long de la rivière afin de creuser l'écart.

 A la remontée aux échelles le trou est fait et je temporise pour la suite.

 Dans la dernière bosse, dans une partie dégagée j'apperçois Rémi en contrebas de celle ci, je décide de remettre une dernière petite couche afin de sécuriser les écarts.

 Je franchis la ligne avec mes deux loupiots et remet bien le pied l'étrier en vu des Frances de Gap.  

 Je bascule à nouveau dans le flanc nord du Larmont pour me diriger sur la fameuse montée du mur frontière que j'avale entièrement en courant.  Au dessus, petit coup d'oeil vers l'arrière : personne.

 Les sensations sont bonnes. Je reprends la direction du Gounefay cette fois ci par le flanc sud du massif. Au ravito, petite pause pour prendre un gel punch power avec un gobelet d'eau.

 Ensuite direction le fort Malher, le beau temps est avec nous et c'est bien agréable !

 Celui ci passé, on se dirige pour la descente du Fer à Cheval au Rosiers. Maintenant je gère mon effort pour terminer le parcours de façon propre afin de pouvoir encaisser les entrainements des jours suivants, pour finaliser ma préparation de Gap.

 Je passe la ligne  d'arrivée, sur le stade, avec un immense plaisir  d'avoir encore gagné ici.

Trail des Sangliers



 Pour une fois, ce dimanche matin, je ne suis pas obligé de décaniller pour faire une course. Il faut dire que celle-ci n'est pas très loin de la maison.

 9h30, le départ est donné et je décide de mettre les gaz dans la grande rue de Pontarlier afin de voir qui a envie de me suivre.

 La première bosse dans le Larmont est avalée à la file indienne et déjà à l'abord de la descente de l'arboretum, un petit écart est créé.

 Le chemin du Tamalou est avalé sur une bonne allure pour aller chercher la montée des Trois Dames.

 Sur la deuxième partie de la montée pour le grand Taureau, je décide de mettre du rythme et me rends compte au dessus, que les écarts sont déjà conséquents.

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